En remplissant complètement un verre d’eau, il se forme à la surface une sorte de bourrelet : ce sont les interactions chimiques entre molécules d’H2O qui en sont à l’origine. Voici comment :
Ce phénomène surprenant est dû à une propriété, la tension superficielle, qui apparaît à l’interface entre un liquide et un gaz. Au sein de liquides, quels qu’ils soient, les molécules ne cessent de former des liaisons faibles les unes avec les autres. Il se trouve que, dans l’eau, ces liaisons, ou ponts hydrogène, sont particulièrement fortes.
En profondeur dans le liquide, les molécules sont attirées de tous côtés par leurs semblables. Mais à la surface, elles ne sont attirées que vers le côté et vers le bas, vers l’intérieur du verre. Leurs liaisons à l’interface s’en trouvent donc renforcées et il se crée une sorte de peau, sous tension… superficielle.
Ainsi, il peut se former un bourrelet d’eau résistant à la gravité au-dessus des bords du verre. C’est également ce phénomène qui permet aux gouttes de rester solidaires au lieu de s’écouler et aux insectes de marcher sur l’eau…
En thérapie magnétique, les molécules d’eau magnétisées, plus fines et plus hydratantes (par un phénomène de dégazage), jouent un rôle essentiel.
En mesurant très précisément la hauteur du bourrelet formé au-dessus du verre, on s’aperçoit après un certain temps que celui créé au-dessus du même verre d’eau posé sur un large aimant néodyme est moins haut (la technique de la goutte pendante est plus probante). Une preuve que l’action du champ magnétique modifie la tension superficielle de l’eau et améliore donc son assimilation par l’organisme pour une meilleure hydratation.
Des effets qui expliquent, en partie, les extraordinaires résultats biologiques de l’eau magnétisée.